‘Le Café c’est pas sorcier’
de Chung-Leng Tran
Aller chercher votre copie et un bon café à L’Hexagone Café (121 Rue du Château, 75014 Paris)
‘Je vous présente le livre, « Le café, c’est pas sorcier », co-écrit avecSébastien Racineux, un de mes associés à Hexagone Café (et avant tout mon ami). Quand j’ai commencé à m’intéresser au café il y a quelques années, j’ai consulté maintes fois ses articles publiés sur le net. Je fréquentais un forum francophone consacré à l’espresso et au café où je lisais attentivement ses interventions. J’ai beaucoup appris de Sébastien et j’ai eu la chance de le rencontrer par la suite et de devenir ami avec lui. Nous nous sommes entraînés ensemble pour la brewer’s cup, nous avons bossé ensemble et nous avons monté notre propre entreprise finalement (avec Stephane Cataldi et David Lahoz) ! Je n’aurais jamais pu écrire ce livre seul. La réciproque n’est pas vraie. Je me sens honoré d’avoir pu le réaliser avec lui (je ne pense pas que j’aurais pu ou même voulu le faire avec une autre personne !). Si le livre est la somme de notre travail commun à tous les deux, il reflète également — pour ma part en tout cas — le fruit de mon (petit) parcours dans le monde du café. Je tiens donc à remercier toutes les personnes qui m’ont aidé à un moment ou un autre :
– Stéphane Cataldi, le meilleur torréfacteur de France (et grand ami dans tous les sens du terme), avec qui j’ai la chance d’être associé. Il a été un des premiers à m’encourager, à me pousser à travailler dans le café.
– David Lahoz, que j’ai connu parce qu’il voulait monter une commande groupée auprès de Caffè Cataldi justement ! Le courant est tout de suite passé et nous sommes devenus très rapidement très bons amis.
– Philippe Mischkowsky, qui m’a prêté sa Rancilio Silvia et son moulin Rocky pour de longs mois. Mon aventure dans le café a sérieusement commencé à ce moment-là.
– David Flynn et Thomas Lehoux, qui par le Frog Fight, ont permis à la communauté parisienne du café de vraiment émerger à l’époque où elle était balbutiante. Grâce à ces rencontres mensuelles, j’ai pu rencontrer de nombreuses personnes impliquées dans le café.
– Pierre-Jacques Antiao, qui a toujours su me donner de bons conseils pour corriger mes erreurs et ce depuis le début.
– Baptiste Kreyder, qui, alors que j’étais juste un amateur, a gentiment à consacré un peu de son temps en me prodiguant des conseils et même un petit cours particulier à Londres.
– Nicolas Dumas, qui m’a proposé de bosser pour Coutume dans le cadre de l’exposition « The ophone » au Laboratoire. Cette expérience inédite a beaucoup compté et j’ai été honoré qu’il fasse appel à moi à ce moment-là.
– Youssef Li, qui m’a proposé de participer à l’aventure Fragments, une expérience capitale pour moi. J’aime à dire que j’ai fait Fragments autant que Fragments m’a fait.
– Cyril Muller, qui venait quasi toutes les semaines me rendre visite à Terres de Café Rambuteau et qui m’a proposé de participer à la trop brève aventure de Rêves d’Abyssinie.
– Terres de Café Rambuteau où j’ai fait mes armes comme barista. Ce fut une expérience enrichissante où j’ai énormément appris et où j’ai côtoyé des gens que j’aime beaucoup (Coucou Chiara Miliani ! Coucou Judith Maréchal !).
– Nicolas Clerc de Télescope pour qui j’ai eu le plus grand plaisir de travailler pendant plusieurs mois avant l’ouverture d’Hexagone café.
Merci encore à vous !
Pour finir, la structure originelle du livre nous est venue en constatant que l’approche du café se déroulait avant tout au départ par la tasse et ensuite lorsqu’on s’intéresse plus au produit, on remonte la filière. La plupart des livres sont organisés de la manière suivant : de l’arbre (la culture du café) à la tasse (la torréfaction des grains et la préparation du café). Nous avons voulu prendre le chemin inverse : nous intéresser d’abord à la préparation du café en tant que boisson et ensuite remonter la filière. Le livre final garde plus ou moins cette idée.’
Chung-Leng Tran